Sujet bac blanc n°3 dans les conditions de l’épreuve

Les attendus de correction
PARTIE 1 : éléments de correction

CONNAISSANCES

Définitions :

  • Figuration : Tendance artistique qui consiste à figurer, à représenter le réel (monde sensible) de manière plus ou moins réaliste ou naturaliste, c’est-à-dire en imitant plus ou moins fidèlement l’apparence du réel. Lorsqu’une peinture ou une sculpture n’est pas figurative, qu’elle ne représente rien d’identifiable, de reconnaissable, on dit qu’elle est non-figurative ou abstraite. Cette définition est en lien avec le degré d’iconicité élaboré par Abrahams Moles en 1971, la ressemblance, la vraisemblance, l’écart entre la représentation et son référent, mais aussi des définitions complexes (pour des mots pourtant simples) comme la forme et la figure.
  • Temps : Le temps, est en arts plastiques une des 9 notions fondamentales, et c’ est une dimension de notre réalité, celle qui se manifeste dans le changement, dans le fait que toutes les choses ne cessent de devenir autres que ce qu’elles étaient. Le temps peut être lié à la narration. La narration est l’acte de langage par lequel on raconte quelque chose. Les éléments du langage des arts plastiques permettent ainsi de raconter de manière visuelle. La relation entre narration et temps est évidente dans un film, une vidéo ou une bande dessinée (accélération ou ralentissement dans la narration). La Tapisserie de Bayeux, 70 mètres de long, réalisée au XIe siècle retrace l’histoire mouvementée de la conquête du trône d’Angleterre par Guillaume le Conquérant. Le temps représenté dans l’œuvre peut être suggéré par un mouvement, la vitesse, par une répétition d’un même personnage évoquant un déplacement (dans les œuvres du mouvement Futuriste, par exemple avec Dynamisme d’un chien en laisse de Giacomo Balla de 1912). Le temps peut être arrêté tel un instantané photographique (Le Sacre de Napoléon de Jacques-Louis David, 1806-1807 ou Le Serment du Jeu de Paume de Jacques-Louis Davidesquisse de 1791). L’œuvre peut aussi rendre compte de moments fugaces (Série des Meules de Claude Monet, plus d’une vingtaine de toiles vers 1890). Dans le cas d’une image fixe, le spectateur (re)construit mentalement le récit, à partir d’une répétition de formes, la mise en scène de personnages, le hors champ, une action arrêtée, une profusion de détails, une succession d’événements, l’organisation dans l’espace de l’œuvre etc. Il est possible également de faire cohabiter plusieurs temps dans un même espace, comme cela est l’usage dans les représentations du Moyen Âge et dans Les Scènes de la Passion du Christ d’Hans Memling de 1470. Le temps est également celui de la création de l’œuvre, pouvant être rendu lisible par l’artiste. Il est également celui qui s’écoule depuis la création de l’œuvre, qui peut occasionner des changements, parfois voulus comme dans certains bâtiments en architecture par exemple ou encore des altérations nécessitant une restauration. Exemple : Roman Opalka avec OPALKA 1965 / 1 – ∞ Détail 1-35327. Le temps est aussi celui de la contemplation de l’œuvre par le spectateur (Douleurs exquises de Sophie Calle, 1984-2003).
  • Mouvement : En art, le mouvement peut être représenté (en dessin, en peinture, en sculpture, en photographie) ou présenté (avec des images optiques ou mobiles, avec des oeuvres cinétiques (qui bougent, qui se meuvent naturellement ou avec l’aide d’un moteur, d’un geste, du vent, …). Voir dans le glossaire pour des références artistiques à connaître.

CONNAISSANCES et COMPÉTENCES

Je suis capable de saisir les œuvres d’un point de vue plasticien et d’effectuer une analyse méthodique :

Oeuvres du corpus/ figuration/ temps/ mouvement
Rosa BONHEUR, Labourage nivernais 1849Recherche de la ressemblance, vraisemblance par croquis d’observation, d’après modèle, d’après nature, une multiplication riche
de production de croquis, esquisse, ébauche, les «vrais instruments de son travail», une
documentation dense, comme des photographies qu’elle possède, usage de la photographie comme document de travail, soucis du détails = réalisme, de naturalisme.
Bien qu’elle se soit tenue à l’écart de toute école, Rosa Bonheur cultive une facture réaliste, c’est-à-dire attentive aux détails, au contexte rural, à une palette proche du ton local. Ses œuvres sont destinées à une clientèle bourgeoise et fortunée, ce qui la différencie d’un artiste comme Gustave Courbet, chef de file, avec Jean-François Millet, du Réalisme au XIXème siècle, dont les oeuvres reflètent des engagements politiques.
Effet narratif : scène de labeur, de travail agricole.
Mise en avant des bovins (boeufs et vaches) / place de l’homme en arrière-plan.
Période du labourage : de septembre à octobre.
Autre titre donné au tableau : le Sombrage
Cette précision situe la scène sous les lumières d’automne. A partir d’octobre le sombrage s’effectue, c’est un labour spécifique pour arracher les végétaux, ouvrir la terre et l’aérer pour l’hiver. Quelques indices confirment la saison : la lumière très blanche, les ombres courtes, les bouviers bien vêtus et les fleurs des champs encore garnies de graines.

La vue panoramique permet de suivre la procession de gauche à droite, lente, pénible, qui rejoint la ligne d’horizon. Le tableau se lit comme une frise de gauche à droite.

Dans cette œuvre, Rosa Bonheur a capturé un moment de la journée très particulier : le lever du soleil, avec une nouvelle journée de travail dans les champs.

Mouvement représenté : action des animaux

Mouvement renforcé : composition dynamique sur oblique, effet de perspective = impression de mouvement.

Arrêt sur image, comme un instantané photographique
Alexander CALDER, Josephine Baker (III) vers 1927Représentation féminine par éléments de détails comme les spirales pour les seins ou le ventre. Mais écart avec la réalité, car liens implicites avec représentation de la danseuse célèbre Joséphine Baker : femme noire / fil de fer noir, danseuse / sculpture suspendue en mouvement, danseuse presque nue, avec juste une ceinture de bananes / sculpture réduite à l’essentiel.

Sur échelle d’iconicité d’Abraham Moles de 1971 : niveau du dessin schématique
Temps de la personne représentée : Joséphine Baker, chanteuse, danseuse, actrice, meneuse de revue et résistante française d’origine américaine, des années 1900 à 1970.

Temps de fabrication : processus créatif qui reprend en trois dimensions la ligne continue en dessin.

Temps du spectateur qui instinctivement va attendre de voir les mouvements lents de la sculpture, en lien avec son passage.
Mouvement réel par le dispositif de présentation choisi par l’artiste : sculpture suspendue, qui flotte dans les airs et bouge selon les mouvements d’air provoqués par les déplacements des spectateurs.

Les ombres projetées au mur, obtenues par un éclairage directionnel, double la sculpture et ses mouvements. cf Mythe de Dibutade avec l’ombre projetée de son amant.
Roy LICHTENSTEIN, Whaam !, 1963Mouvement artistique du Pop Art : figuration par les codes de la bande-dessinée (vignette, onomatopée, cartouche, cadrage), effets de trames, surfaces et contours nets empruntés aux affiches publicitaires avec impact visuel immédiat.  Il aborde le dessin par sa reproduction et déclare : «Je veux cacher la trace de la main». Il travaille avec minutie à la transposition plastique et manuelle d’une figure imprimée.
Représentation en image séquentielle : sur deux supports, deux panneaux
Effet narratif : scène de combat, explosion
Lecture des deux panneaux qui se lisent comme une frise de gauche à droite : temps de lecture qui donne continuité visuelle

Effet séquentiel : image 1 puis image 2 avec la conséquence de l’image 1
Mouvement représenté : action violente, explosion

Composition dynamique sur oblique (avion sur le panneau de gauche et onomatopée sur panneau de droite)

Christian BOLTANSKI, La Naissance de Christian, 1974Représentation fidèle par l’usage de la photographie argentique mais réalité détournée par la mise en scène humoristique et fictionnelle.
CF : Autoportrait en noyé d’Hippolyte Bayard, 1840 (première mise en scène photographique de l’histoire)

4 photographies issues de la série (oeuvres en supports multiples qui forment un ensemble) des Saynètes comiques =
image séquentielle : sur différents supports
(définition de la saynète au théâtre : courte pièce comique avec peu de personnages)

Effet narratif : scène de son propre accouchement commentée avec humour et dérision, prenant le spectateur à témoin (suggéré par plan, cadrage, regard)
Série dissociable : Suite chronologique donnée par le texte « Aïe, aïe, je souffre / Je suis tellement heureuse /
Le voilà qui sort / Comme il est mignon »

// séquence au cinéma = une suite de plans décrivant une action qui se déroule en un lieu unique et dans un même temps

Déroulé d’une scène en 4 temps // chronophotographie

L’instant décisif est parfois anticipé ou préparé : Robert Doisneau n’a pas volé le Baiser de l’Hôtel de Ville : les protagonistes étaient des figurants.
Les photoreporters comme Robert Capa ou Henri Cartier-Bresson étaient en quête d’un instant de vérité à l’image mais n’hésitaient pas à mettre en scène la réalité.

Mouvements du personnage mais avec arrêt sur image.

Éléments d’analyse facultatifs : Mouvement du spectateur lors de la visite par exemple à la galerie Marian Goodman :

https://www.mariangoodman.com/exhibitions/43-christian-boltanski-saynetes-comiques/

Nidhal CHAMEKH Tremblements, 2024Image souvenir, document, trace du passé, résultat d’un processus artistique, image reconstruite, questionnée, associée, fragmentée, détournée, interprétée, … > article sur l’exposition Pause, vue au FRAC Lorraine
Série de dessins de cet artiste regroupés sous le titre Et si Carthage, …? , pendant sa résidence à la Villa Médicis à Rome (2021-2022).

Nidhal Chamekh représente dans ses œuvres sur papier des
images de différentes époques pour donner à voir des images d’archives, du passé, du présent, sous forme de fragments.

L’artiste les positionne sur des échafaudages, clin d’œil à ceux
observés sur les sites archéologiques, mais aussi métaphore
d’une construction mentale.

«La complexité des images est
centrale dans mon travail, il s’agit toujours d’ouvrir des formes a
priori directes vers leur irréductible profondeur, en les reliant à
d’autres formes, d’autres contextes et d’autres espaces temps
».
Nidhal Chamekh tisse ici des analogies et des correspondances
entre plusieurs civilisations, plusieurs époques, plusieurs codes de représentation.

Georges Didi-Huberman parle
de « connaissance par le montage », où les associations et les juxtapositions d’images peuvent fournir des clés alternatives
pour interpréter des événements historiques. L’artiste observe
puis sélectionne des photographies d’archives qu’il dessine
ou transfère sur papier : des représentations de béliers, du dieu
punique Ammon, de femmes coiffées d’une tête d’éléphant,
de la princesse Didon, des coiffures étrusques, éthiopiennes
ou égyptiennes, des femmes libyennes saluant Mussolini… Ses
grands dessins opèrent comme des cartographies mentales.

Temps de lecture et de déchiffrage du spectateur qui cherchent dans ses fragments des indices d’images, de modèles reconnaissables.
Mouvement du parcours visuel opéré par le spectateur qui cherche dans les fragments décomposés comment recomposer une figuration compréhensible.

Mouvement du spectateur devant les dix dispositifs de présentation, ici sur grilles.

Mouvements implicites de l’artiste lors de ses recompositions de montages : plaçant tel ou tel dessin en juxtaposition ou superposition à un autre.

Je suis capable de tendre des liens entre des œuvres d’un même corpus :

Je suis capable de problématiser :


Je suis capable de faire appel à une culture personnelle référencée et élargie :

  • Figuration, temps + mouvement = narration > Scènes de la Passion du Christ de Memling, Serment du Jeu de Paume de David, séries (Meutres, Petite Voleuse, …) de Jacques Monory, Gare Saint Lazare ou Cycle des Nymphéas de Monet, Les Noces de Cana de Véronèse, Les Glaneuses de Millet, Things are Queer de Michals, …
  • Figuration montre le temps qui passe : Vanité de Champaigne, La Peau des Murs de la série Naples de Pignon-Ernest (collages dans la ville), Persistance de la Mémoire de Dali, …
  • Figuration montre le mouvement : salle des Lions dans la Grotte Chauvet, la chronophotographie du cheval au galop de Muybridge (exposée au Centre Pompidou Metz « Voir le Temps en Couleur »), Dynamisme d’un chien en laisse de Balla (des oeuvres du Futurisme étaient obligatoires avec cet axe de travail), Nu descendant un escalier de Duchamp, …
  • Figuration montre le mouvement : salle des Lions dans la Grotte Chauvet, la chronophotographie du cheval au galop de Muybridge (exposée au Centre Pompidou Metz « Voir le Temps en Couleur »), Dynamisme d’un chien en laisse de Balla (des oeuvres du Futurisme étaient obligatoires avec cet axe de travail), Nu descendant un escalier de Duchamp, …

Ouvertures possibles :

  • de la figuration aux abstractions : Kandinsky, Mondrian
  • de la représentation du temps au temps présenté comme constituant plastique : Opalka, On Kawara, Banksy ou Tinguely avec oeuvres en autodestruction en direct, Land Art, Christo et empaquetages éphémères, JR ou Pignon-Ernest avec collages soumis aux intempéries, aux aléas de l’espace public, Blazy avec mur recouvert de coulis de tomates, …
  • de la représentation du mouvement au mouvement présenté comme constituant plastique : oeuvres cinétiques (Rotoreliefs de Marcel Duchamp, Jean Tinguely, Théo Jansen), oeuvres animées (William Kentridge), vidéos (Nam June Paik, Bill Viola), …

Pour rappel, les oeuvres du programme de Joseph VERNET, Rosa BONHEUR et Andreas GURSKY ne sont pas considérées comme des oeuvres personnelles !

Critères d’évaluation PARTIE 2 : Sujet A commentaire critique d’un document sur l’art OU Sujet B : note d’intention pour un projet d’exposition
PARTIE 2A : éléments de correction

CONNAISSANCES et COMPÉTENCES

  • Je suis capable de saisir, analyser un document et faire preuve de synthèse

Extrait d’un article paru sur le site de La Lucarne, Hypothèses.org, datant du 13 juin 2023 et rédigé par Elodie Izard, étudiante du CNAM (Conservatoire national des arts et métiers). L’article, titré des Premiers pas du cinéma, témoins d’une société moderne, revient sur l’expérience vécue lors de la première diffusion du 1er film projeté des frères Lumière, Entrée en gare de la Ciotat, datant de 1896. https://ateliercst.hypotheses.org/950

  • Je suis capable de problématiser (au regard d’une consigne)

En qui les innovations techniques au XIXème siècles ont-elles permis aux artistes d’appréhender différemment la représentation du monde moderne en mutation ?

  • Je suis capable de faire appel à mes connaissances et une culture personnelle référencée et élargie (interdisciplinaire et transversale)
    • Auguste et Louis Lumière inventeurs du cinéma en 1895-1896, à partir d’une innovation : « photographie en mouvement » = chronophotographie de Marey et Muybridge > révolution avec passage de l’image fixe, à animée, à vidéo (filmique).
    • Romantisme et Réalisme en littérature et en arts à définir
    • « En peinture aussi, avec l’invention du tube en peinture souple (voir à tube de peinture) , les artistes sortent de leurs ateliers (Travail en atelier de Rembrandt à opposer au travail en plein air des Impressionnistes comme Monet, Renoir, …), et ne tardent pas à décliner les tableaux sur des sujets tels que les chemins de fer (Gare Saint Lazare de Monet) ou le paysage industriel (Fabriques à Argenteuil de Gustave Caillebotte https://histoire-image.org/etudes/evolution-paysage-industriel) ».
    • « Le monde artistique du XIXe siècle se veut le témoin de son époque, et quoi de mieux que d’animer des photographies pour toucher de plus près la réalité ? Les images animées, sur lesquelles travaille alors l’américain Thomas Edison, ne sont que les prémices de ce qui devient plus tard, le cinéma ». cf cours sur les animations : https://www.profartspla.site/wordpress/2025/03/11/animations-images-interfaces2025/ choisir un exemple qu’il fallait détailler et sa voir expliquer (thaumatrope inventé par l’astronome John Hershel, et commercialisé en 1825 = du grec thauma , prodige et tropion , tourner est un jouet optique formé de deux images sur des disques que l’on fait tourner à l’aide de deux ficelles diamétralement opposées. La persistance rétinienne d’une durée d’environ 50 ms laisse une « trace » au fond de la rétine et si une autre image est perçue par l’oeil dans ce laps de temps, notre cerveau aura l’illusion de voir les deux images en même temps) + rappel du passage de l’image fixe, à animer au cinéma : illusion du mouvement provient d’une imperfection de l’œil humain : la persistance rétinienne. En effet, lorsqu’on fait défiler rapidement des images devant notre œil, celui-ci n’est pas capable de les effacer immédiatement et finit par les superposer. En cinéma, il faut 24 images pour constituer une seconde de film. Mais l’animateur se contentera de fabriquer en moyenne 12 animations qui seront photographiées chacune deux fois sur une pellicule. On obtient bien alors les 24 images qui composent une seconde de film.
    • « Émile Reynaud et son premier dessin animé réalisé quelques années auparavant » = référence à ses « pantomimes lumineuses » ou « théâtre optique« , présentés au musée Grévin à partir du 28 octobre 1892.
    • « Les premières images mouvantes des frères Lumière sont projetées devant une assemblée » : dispositif de création d’images mobiles, animées, dispositif de monstration devant public et dispositif de projection (sur un écran, utilisation d’une interface de diffusion).

Ouvertures :

  • invention de la photographie = remise en cause de la représentation de la réalité (citation d’Ingres : « la photographie c’est mieux qu’un dessin mais il ne faut pas le dire »)
  • invention du cinéma = passage de l’image fixe à l’image mobile, en mouvement, captation du réel dans ses mouvements, changements
  • invention du numérique et de l’IA = remise en cause du rôle de l’artiste comme créateur (Aï-da premier artiste-robot doté de capteurs et d’intelligence artificielle)
PARTIE 2B : éléments de correction

CONNAISSANCES et COMPÉTENCES

Pour ce projet d’exposition, il fallait amener le spectateur à découvrir l’oeuvre en plusieurs étapes mais aussi analyser l’oeuvre afin d’en proposer une lecture successive intéressante. dans beaucoup de copie, vos propositions de scénographie seraient valables pour n’importe quelle oeuvre ! Cela n’est pas judicieux. Il faut partir de vos éléments d’analyse de l’oeuvre choisie, expliquer et argumenter le choix de cette oeuvre, de ce lieu d’exposition, de cette scénographie afin de réponse à l’axe de travail. Enfin, il est important de montrer votre expérience de visiteur avec des exemples de visites que vous avez effectuées, à mettre en lien avec votre proposition.

  • Je suis capable d’expliciter par écrit des intentions
  • Je suis capable de traduire graphiquement/visuellement (par des croquis, schémas, collages,
    prélèvements) mes intentions : croquis avec plan (parcours de visite), vue d’ensemble avec spectateur (grouillot), vue de détail, chaque croquis d’au moins 15 cm de haut, à réaliser sur les 3 feuilles blanches, et à coller dans la copie quadrillée.
  • Je suis capable de raisonner pertinemment mon projet d’exposition avec la consigne et l’œuvre choisie
  • Je suis capable d’affirmer un parti-pris et de le justifier
Grille d’évaluation et critères de réussite utilisés par les jurys dans l’académie Nancy-Metz

Quelques exemples de copies avec barème et annotations de correction

à venir

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